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Live report :  HELLFEST 2012 - CLISSON, les 15, 16 et 17 juin 2012 - 150 groupes sur 6 scènes !!!
Date de publication : 26/06/2012
Auteur : NOCTUS
VENDREDI 15 JUIN 2012

Pour la cinquième année consécutive, Guillaume et moi, nous nous rendons au HELLFEST à Clisson (44) pour le plus grand rassemblement annuel Hard Rock - Metal en France. Il nous tarde de voir le nouveau site permettant de doubler la capacité d’accueil de 20 000 à 40 000 personnes. En effet, le festival connaissant un succès grandissant, il devenait difficile de circuler facilement et il fallait obligatoirement aérer l’espace et créer des scènes supplémentaires.

Sans prendre nos nouveaux repères nous filons sous la scène Temple (dédiée au Black Metal) à 14H15 afin de voir BELENOS. Devant un public acquis à sa cause et se produisant assez rarement en live, le groupe de Loïc CELLIER délivre un pagan Black puissant (Morfondu) aux influences celtes prononcées. Malgré un son perfectible (caisse claire), BELENOS rend une copie très satisfaisante.

BENEDICTION nous attend juste après sous la tente Altar (consacrée au Death Metal). Amené par son charismatique chanteur Dave HUNT, le groupe anglais propose un Death Metal old school dans la grande tradition anglaise (ce son Grind Death issu du Punk comme les premiers NAPALM DEATH et BOLT THROWER) avec breaks, changements de tempo et les classiques tels que Jumping At Shadows ou The Grotesque font plaisir à entendre. Dommage que leur set ait été programmé si tôt…

Juste le temps d’acheter un T-shirt officiel du festival et nous allons voir LIZZY BORDEN sur la Mainstage 1 pour leur tout premier concert en France ( !) alors que le groupe existe depuis 1983. Un shock Rock Glam Metal dans le style ALICE COOPER ou W.A.S.P. avec tout l’attirail (crâne, drapeau,…) : peu connu dans notre pays, le groupe donne tout. Il fera de même en répondant très amicalement à notre interview pour METAL NOCTUS une heure plus tard : très très sympa !

Un œil et une oreille ensuite sur le Rock sudiste de MOLLY HATCHET qui, de loin, semble éprouver un peu de mal à fédérer la foule : le poids des âges… ?

Nous choisissons à présent de regarder UNISONIC car le fan d’HELLOWEEN que je suis n’avait jamais eu l’occasion d’entendre le I Want Out avec l’association Michael KISKE - Kay HANSEN. Evidemment, c’est sur les morceaux de la citrouille que l’on s’emballe vraiment même si le Heavy Rock proposé par le combo germanique est bien exécuté. Un show un peu poussif malgré tout selon moi.

Nous ne voulions pas louper GOTTHARD sur la Mainstage 1 pour deux raisons :
1. Nous aimons beaucoup GOTTHARD.
2. Impatience de voir le successeur du défunt chanteur Steve LEE.
La bonne entente règne dans le groupe suisse, à l’image de l’humeur joviale communicative dégagée par son guitariste Léo LEONI. Le nouveau chanteur Nic MADER au timbre très proche de Steve assure vraiment et lui rend un bel hommage sur One Life One Soul. Les classiques s’enchaînent, on se régale devant Sister Moon ou Anytime Anywhere surtout que le son est quasi parfait …Un set trop court, à voir en tête d’affiche !

Après les conférences de presse de LYNYRD SKYNYRD puis de MEGADETH qui nous permettent de shooter quelques photos de près (et se reposer un peu au sec alors que des orages trempent les festivaliers), nous allons voir le concert des vétérans du Rock sudiste américain qui n’ont plus rien à prouver. Un son bien consistant, trois guitares, des choristes féminines, beaucoup de feeling avec en conclusion le mythique Sweet Home Alabama.

Le HELLFEST c’est un rassemblement de tous les styles de Metal ce qui convient bien à notre ouverture d’esprit. Ainsi, nous partons en quête de brutalité vers les scènes Altar et Temple vers 22H00. Pour les avoir déjà vus en salle plus réduite, je suis un peu déçu par le son de CANNIBAL CORPSE, pas assez précis, mais pas surpris devant la débauche d’énergie surnaturelle déployée par son chanteur Corpsegrinder.

Après avoir interviewé Frost dans l’après midi (à écouter dans METAL NOCTUS sur Breniges FM 95.6 à Brive (19) et sur www.brenigesfm.com), nous assistons à une partie du concert de SATYRICON car nous demeurons vraiment fans de leur Black ‘N’ Roll plein de noirceur et de groove. Déjà présente à l’édition 2008, la bande à Satyr et Frost ne déçoit pas, magistral !

Impossible pour nous de rater une miette de MEGADETH qui commence à 23H10 surtout que les deux Dave historiques sont réunis. Rien à dire, son propre et carré, setlist équilibrée : Hangar 18, Enemy Public N°1, A Tout Le Monde, Holy Wars, In My Darkest Hour, Foreclosure Of A Dream, Peace Sells…Mais, hormis l’apparition d’un gars déguisé en Vic Rattlehead sur le dernier titre cité, ou un medley reprenant The Four Horsemen, je note une absence de surprise, ce qui est gênant pour une groupe jouant si haut dans l’affiche. Par exemple, c’est le même décor utilisé pour leur concert avec JUDAS PRIEST et TESTAMENT le 21 mars 2009, soit un mur immense d’amplis Marshall !

KING DIAMOND constitue la tête d’affiche de la première journée et commence son show à 00H45 sur la Mainstage 2. On aime ou on déteste le groupe, pas de position médiane bien souvent.
Je choisis délibérément de me placer tôt et très proche de la scène car, selon moi, un concert de KING DIAMOND c’est autant de visuel que de musique et ses apparitions se font trop rares (deux festivals seulement cet été, HELLFEST et Sweden Rock). Entendre seulement des cris haut perchés quand on est situé très loin de la scène avec des vents tourbillonnants, ce n’est pas profiter pleinement du spectacle. Le décor de scène est somptueux, une sorte de manoir effrayant, un peu gâché par des barrières métal en début de concert qui nous empêchent de pendre des photos correctes.
Le KING, comme à son habitude chante facilement dans les aigus, medium et grave, peut être un peu aidé par quelques samplers… ? Une danseuse qui change constamment de tenue de scène (grand-mère, femme enceinte,…) illustre les histoires qu’il raconte, issues des albums Abigail, Them ou Conspiracy. La musique reste toujours très mélodique grâce à l’excellent jeu de guitare d’Andy LAROCQUE. La pluie fine tombe depuis une heure mais le public reste là, ne bouge pas, captivé, hypnotisé par ce concert unique, vraiment original, KING DIAMOND à voir au moins une fois dans sa vie !

SAMEDI 16 JUIN 2012

La journée du samedi s’annonce ensoleillée, prévision rassurante afin d’éviter de marcher sur le support boueux de la veille qui commence à sécher.
Nous arrivons sur le site à 14H15 et en approchant des Mainstage, je reconnais au loin 17 Girls In A Row…mais punaise, c’est STEEL PANTHER qui joue et qui doit terminer son concert. Grosse déception, les américains ont alterné avec KORITNI le jour même et je viens de les rater !

Alors que DEATH ANGEL délivre son Thrash Metal (un peu trop) propre sur la Mainstage 2, nous décidons d’aller nous consoler sur l’AltarAVULSED envoie les décibels. Ne connaissant que deux albums du groupe espagnol, je suis curieux de voir cette formation dans des conditions live et là grosse baffe : c’est brutal, technique, parfois grind, sans concession. Et le chanteur Dave ROTTENdécidant de se lancer dans un stage diving démentiel tout en chantant (et donc ne maîtrisant rien du tout, porté par des métalleux en furie), je n’avais jamais vraiment vu ça à ce niveau, authentique !

Nous revenons sur la scène principale où se produit KORITNI : Un Hard Rock typiquement australien à la AC/DC donc bien exécuté même si peut paraître trop classique pour certains. A noter une bonne communication avec le public et son nouvel et réussi album Welcome To The Crossroads passe le test du live avec mention bien.

Une petite pause avec Luca TURILLI qui nous parle de son nouveau RHAPSODY, de son nouvel album, de son amour pour la France, de sa passion pour le cinéma, et de son optimisme pour la suite de sa carrière. Un personnage aussi agréable qu’accessible qui parle un très bon français, l’une de nos meilleures interviews (à écouter sur METAL NOCTUS)

Nous attendons les URIAH HEEP encore amené par son guitariste Mick BOX, guitariste fondateur connu pour son utilisation de la pédale wha wha. Le groupe britannique arrive à nous faire voyager dans les seventies et dégage encore de l’énergie malgré une moyenne d’âge assez élevé. Le concert s’achève par l’hymne incontournable Easy Livin’ repris par tout le monde, magique !

Nous nous dépêchons ensuite de rejoindre l’espace presse car nous avons rendez-vous avec Dirk SAUER, fidèle guitariste d’EDGUY avant d’enchaîner sur l’interview de Mick BOX, détendu après sa prestation, aussi aimable que légendaire !

18H50, 18 And Life retentit, Sébastian BACH a investi la scène. Toujours en voix, le fougueux blond nous fait revivre les vieux titres de SKID ROW avec bonheur : Youth Gone Wild, Monkey Business… La comparaison avec les nouveaux titres de son dernier album Kicking & Screaming s’avère ainsi difficile. Un beau come-back mais nous lui donnons un carton jaune pour avoir jouer un peu sa star, n’accordant que des interviews à 3 gros médias…

Pendant ce temps mon collègue a voulu voir SHINING. Moins torturé qu’ l’accoutumée mais toujours alcoolisé, Niklas reprend essentiellement des titres des deux derniers albums en ayant gagné en assurance vocale malgré un chant clair mal mixé et souvent inaudible. La suite de la soirée fut très mouvementée puisque toutes les interviews dont la nôtre furent annulées et sans la moindre information : « encore pire que la légende » nous a signalé son management…pas cool !

EDGUY est devenu pro, la grosse machine allemande arrive à 19H45 avec un sublime backdrop à l’effigie de leur dernier album Age Of The Joker. Doté d’un très bon son, le set s’articule autour des albums récents. Comme nous l’a dit Dirk deux heures auparavant, il faut plusieurs écoutes pour apprécier les nouvelles compositions. Toujours selon lui, leur prestation au HELLFEST 2007 entachée par de multiples problèmes techniques reste un mauvais souvenir donc ce soir le groupe a les crocs. Le tout dans une ambiance bon enfant grâce au volubile Tobias SAMMET qui échange chaleureusement avec le public. Personnellement, préférant la première partie de carrière d’ EDGUY et ses titres plus Speed Heavy Metal je reste un peu sur ma faim, histoire de goût seulement, car le public adhère pleinement.

Nous avions de gros a priori sur GUNS ‘N’ ROSES ou plutôt Axl ROSE & Friends devrait-on dire puisqu’il demeure le seul membre originel à bord. Un concert de 2H30 est programmé ! En fait, cela passe très vite, signe d’un spectacle plaisant mixant les nouveaux morceaux (dans un registre plus Rock puissant que Hard Rock) avec les grands classiques. Axl est entouré d’excellents musiciens qu’il n’hésite pas à mettre en avant sur des interludes en solo divertissants. Servi par un superbe light show et un son excellent, Axl ROSE s’applique à bien chanter les Welcome To The Jungle, November Rain, Don’t Cry, Nightrain, Civil War, Sweet Child O’ Mine ou Paradise City, un peu à la peine sur You Could Be Mine. Malgré des petites péripéties (chute d’Axl sur Sweet Child O’ Mine et du claviériste au tout début), nous assistons à un vrai concert de tête d’affiche. On regrettera peut être le peu d’échange avec le public, Axl ROSE semblant très concentré sur son jeu. Ce soir GUNS ‘N’ ROSES a frappé fort à l’unanimité !

Il est 04H00 du matin lorsqu’on va se coucher, la dernière journée va être longue…

DIMANCHE 17 JUIN 2012

13H00 : en attendant mon camarade parti regarder ALCEST, j’en profite pour aller à la dédicace de GIRLSCHOOL, me faire prendre en photo avec Denise DUFORT à la batterie depuis 1978, et taper la bise à la ravissante Jackie CHAMBERS…Respect pour le plus grand groupe de Rock féminin de l’histoire !

ALCEST assure sur la scène Valley (dédié au Stoner et Doom) devant un public connaisseur, hétérogène et assez fourni. NEIGE alterne avec aisance chant clair et chant Black, dommage qu’il n’ait pas trouvé un créneau pour répondre aux questions de METAL NOCTUS

En réalité, c’est le groupe DISNEY LAND AFTER DARK (qui doit s’appeler D-A-D pour des raisons juridiques) que nous avons coché en rouge dans notre planning de cette dernière journée. Exubérance, originalité, énergie caractérisent la superbe prestation du groupe Danois : basse 2 cordes, batteur tenant une baguette en prise stylo, un guitariste Jacob BINZER talentueux tout droit sorti du meilleur western, son frère Jesper au chant à fond tout le temps…Content d’ailleurs d’avoir pu l’interviewé 2 heures après car leur prestation nous a vraiment convaincu. D-A-D, peu connu en France, aurait mérité de jouer plus tard. Quel plaisir d’avoir pu entendre Sleeping My Day Away de leur premier et indispensable album No Fuel Left For the Pilgrims (1989).

14H30, nous filons immédiatement en point presse VIP car Mike SPREITZER, guitariste de DEVILDRIVER nous attend pour répondre à nos questions. L’entretien se déroule de façon professionnelle mais reste tendu, le groupe jouant dans 3 heures, on ressent un certain stress.

CRASHDIET passant par là, nous improvisons une interview avec Eric et Peter, respectivement batteur et bassiste du groupe de Sleaze Rock Glam suédois : une discussion 100% Rock ‘N’ Roll, un moment de franche rigolade. Quand j’apprends que les gars ont moins de 25 ans, je me prends un bon coup de vieux !

DEVILDRIVER prend possession de la Mainstage 2 à 17H40 devant une audience massive. Dégageant un grosse puissance, Dez FERRARA harangue la foule et des énormes circle pits ou walls of death se constituent…ça remue. J’apprécie les versions live des titres de Pray For Villains, leur avant dernier album, le meilleur à mon avis (et de l’avis de Mike SPREITZER également). On arrive néanmoins à se lasser devant une musique, certes remplie de groove et dopée par un jeu de batterie phénoménal, mais qui devient un peu répétitive à la longue.

BLUE ÖYSTER CULT en France c’est rare, alors nous nous plaçons assez près de la scène afin de contempler ces dinosaures du Rock incarnée par la paire de guitaristes chanteurs Eric BLOOM et Donald ROESER (ou Buck DHARMA si vous préférez). Le groupe a indéniablement vieilli mais les standards Godzilla, (Don’t Fear) The Reaper ou Burnin’ For You montrent la particularité de leur musique unique, très spéciale, entre Hard Rock et Rock psychédélique des seventies…

20H45, MÖTLEY CRÜE, l’un de mes groupes préférés, entre en scène. En 2009, la bande à Nikki SIXX avait laissé une impression mitigée, un manque d’implication. C’est avec un état d’esprit différent que le mythique groupe de Hard Glam californien entame son show : on sent les musiciens très motivés, à l’instar du chanteur Vince NEIL qui bouge partout. Pourtant, le son de départ (Live Wire), pollué par une basse trop présente ne correspond pas à nos attentes, les premières craintes arrivent…Heureusement, l’ingé son rectifie les balances et les brûlots Same Ol’ Situation (S.O.S.), Looks That Kills, Wild Side, Smokin’ In The Boys’ Room, Dr. Feelgood font sensation. Sex Fun and Rock ‘N’ Roll quand Girls, Girls, Girls arrive : comme le veut la tradition chez MÖTLEY, certaines filles portées par leurs mecs (?) montrent leurs nichons !!! Agrémenté par deux superbes danseuses choristes en petite tenue, le spectacle est complet ! Mick MARS, toujours statique, décoche ses riffs efficaces dans son coin. L’extravagant Tommy LEE prend alors possession du piano pour le célèbre Home Sweet Home qui fait son effet. Kisckstart My Heart termine la fête avec une lancée de peinture (?) rouge dans les premeirs rangs…1H15 de pur bonheur, que c’était bon !

La fin du festival nous oblige à faire des choix cornéliens tant le programme présente des intérêts sur toutes les scènes. Nous assistons à la fin du brutal Death de SUFFOCATION puis nous nous arrêtons devant ARCTURUS. Cette voix claire fantastique m’est familière, ICS Vortex (ex DIMMU BORGIR) a remplacé Garm. Une curiosité Black Metal progressif et atmosphérique qui nous plait en studio et qui confirme en live.

Tommy IOMMI malade, nous n’avons hélas pas droit à la reformation du culte BLACK SABBATH mais une nouvelle apparition de OZZY & FRIENDS (SLASH, Geezer BUTLER,…). On se remémore alors, avec nostalgie, la prestation cinq étoiles de HEAVEN & HELL avec IOMMY et le grand DIO au chant au HELLFEST 2009, un grand souvenir.
OZZY nous semble en bien meilleure forme que l’année dernière, son chant ne souffrant d’aucun défaut, c’est propre. I Don’t Know (issu de Blizzard Of Ozz), Shot In The Dark (The Ultimate Sin) puis Iron Man (Paranoid) avant que les Dieux du ciel ne se déchaînent : une pluie froide accentuée par un vent violent nous contraint à changer nos plans. Le sol commence à devenir un bourbier, plusieurs centaines de personnes quittent le concert d’OZZY et font comme nous en se réfugiant trempés sous les tentes Altar et Temple…Dommage.

CHILDREN OF BODOM y donne un très bon concert à la fois mélodique et extrême avec un décor construit autour d’une voiture au visuel percutant. Accueil chaleureux du public, nous déplorons cependant une sortie du groupe un peu vite expédiée.

01h00 : nous sommes bien placés pour le show de DIMMU BORGIR. Son Black Metal grandiloquent, à la limite du pompeux pour certains, rassemble un public très large (beaucoup de filles) grâce à des compositions très travaillées. Mourning Palace suivi de Spellbound ouvrent le bal et font plaisir au vieux fan de Enthrone Darkness Triumphant que je suis ! Je trouve le son impeccable, des lights un peu sombres et prévisibles (alternance bleu, rouge, vert, bleu, rouge, vert,…). Seul bémol : l’absence de ICS Vortex dont la qualité des vocaux clairs, même si remplacé par quelques samplers et des parties chantées par Shagrath, manque cruellement au groupe Norvégien. La paire de guitariste constitué par Silenoz (fondateur du groupe avec Shagrath) et Galder (OLD MAN ‘S CHILD) fait preuve d’une efficacité redoutable. Nous terminons ainsi ce festival sur une très bonne note.

Malgré une météo pas toujours au rendez-vous, cette édition 2012 remporte un franc succès. Ayant doublé sa capacité d’accueil, le festival garde encore son esprit humain et convivial tout en conservant une organisation irréprochable (timing toujours respecté). Conseil : il faudra peut être travailler un peu plus sur la performance des installations sanitaires (WC bouchés dès la deuxième heure…).

Un compte rendu non exhaustif réalisé en fonction de notre planning d’interviews, de nos goûts musicaux, de nos attentes spécifiques sur certains groupes et aussi de notre état de fatigue et de la météo…

Nous pouvons déjà vous annoncer que METAL INTEGRAL couvrira l’édition 2013 !!!
Merci d’avoir lu jusqu’au bout.

NOCTUS

REMERCIEMENTS

Organisation espace presse : Roger, Fabienne, Olivier, Nicolas
Roadrunners records : Karine, Charlotte
Nuclear Blast : Valérie, Nathanaël
H.I.M. Media : Charles, Yohann
106dbs : Dom
BELENOS : Loïc
Season Of Mist : Rose
Natacha & Sabrina

COMMENTAIRES DES LECTEURS Vos commentaires, vos remarques, vos impressions sur le dossier
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Nico Le mercredi 27 juin 2012

Ville : Lyon
Super report Noctus, ça donne envie! Une belle édition cette année encore.
Commentaire de NOCTUS : Tout à fait! Thanx :-)
Hellfire Paco Le mercredi 27 juin 2012

Ville : Belley
Pfou!!! Avec tout ça t'as dû rentrer heureux mais épuisé!!! En tous cas le report est super à lire! Tant de groupes à résumer, c'était pas évident! Chapeau!
Commentaire de NOCTUS : Quand la passion est là, la fatigue passe après...mais c'est le nombre d'heures pour mettre en forme ce live report que j'avais sous-estimé!
Rémifm Le mercredi 27 juin 2012
Super report et photos, merci pour ce partage de 3 jours véritablement intenses !!! Tchuss Man !
Commentaire de NOCTUS : Merci Rémi, toujours un petit mot qui fait plaisir!
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