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Chronique
AMIDST THE WITHERING - The dying of the light

Style : Melodic Extrem Metal
Support :  MP3 - Année : 2015
Provenance du disque : Reçu du groupe
13titre(s) - 63minute(s)

Site(s) Internet : 
AMIDST THE WITHERING WEBSITE

Label(s) :
Auto Production
 (17/20)

Auteur : Alain
Date de publication : 25/04/2015
Black death symphonique de première classe
Le moins que l'on puisse est que, pour une autoproduction, The Dying Of Light présente toutes les garanties d'un album professionnel : production, artwork, photographies, tout témoigne de la maîtrise absolue de tous les aspects concernant AMIDST THE WITHERING par ses deux membres, le chanteur John HEMBREE et le guitariste et bassiste Serge FARINAS. J'estime que AMIDST THE WITHERING relève bien plus du courant Black Death symphonique. Expliquons-nous...

Dès le morceau instrumental d'introduction, A Prelude To Darkness, la dimension orchestrale est évidente : claviers, instruments à vent, choeurs, percussions, on comprend d'entrée de jeu que le duo cherche à la fois à tutoyer le grandiose sans omettre une finesse mélodique et une variété chromatique. D'autres séquences instrumentales de ce type ponctuent l'album (Infinitus Dolor Amoris, Prologue). Les compositions à proprement parler font toutes l'objet d'arrangements classiques constants qui apportent richesse et profondeur, soulignant par instants l'ampleur presque épique ou ciselant au contraire des ambiances plus délicates.

Cela dit, AMIDST THE WITHERING se caractérise avant tout par sa capacité à frapper fort dans le cadre de structures assez complexes, riches en séquences variées, qui ne dénoteraient pas dans le monde du Metal progressif. Dans les moments les plus intenses et les plus rapides, ce sont bien entendu les domaines du Death et du Black Metal qui s'imposent, un peu comme si MORBID ANGEL et DIMMU BORGIR fusionnaient sous le regard bienveillant de THERION. D'ailleurs, les vocaux extrêmes témoignent de ce double ancrage, partagés qu'ils sont entre des grondements graves peu articulés et un registre médium plus haineux.

Cependant, le tandem possède une très solide culture Heavy Metal qui se révèle dans des parties de chant clair bien modulées, dans des solos de guitare très mélodiques et construits, voire dans certaines rythmiques plus pondérées.

D'une durée assez copieuse (plus d'une heure), The Dying Of The Light emporte l'auditeur dans un dédale imaginatif passionnant. Nous n'attendions rien de ce groupe inconnu ; désormais, nous attendrons la suite de sa production avec impatience et exigence.
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