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Chronique
MAGNUM - Lost on the road to eternity

Style : Hard Rock
Support :  CD - Année : 2018
Provenance du disque : Reçu du label
11titre(s) - 67minute(s)

Site(s) Internet : 
MAGNUM WEBSITE
MAGNUM FACEBOOK

Label(s) :
Steamhammer
SPV
 (19/20)

Auteur : Rémifm
Date de publication : 17/01/2018
Inspiré !
Né en 1972, le groupe anglais MAGNUM sort son premier album en 1978, le bien nommé Kingdom Of Madness.
40 ans de carrière discographique, pas mal non ?
Et un 20ème album pour fêter cela, et plutôt excellent en plus !
Bon, ce n’est pas le changement de personnel qui change quoi que ce soit à la musique du groupe.
En effet, Lee MORRIS a pris le poste de batteur et vous n’imaginez pas MAGNUM embaucher un musicien non au niveau. Ce dernier a toutes les qualités requises pour être le nouveau batteur du groupe et partager la prochaine tournée qui démarre ce mois-ci !
Rick BENTON, qui a un pedigree long comme plusieurs bras prend la place de claviériste. Rien à redire sur ce choix là encore.
Côté compositions, Tony CLARKIN a tout composé, fut très inspiré à nouveau, il joue toujours aussi bien de la guitare et produit magnifiquement cet album !
La question qui restait en suspens, la qualité vocale de Bob CATLEY. Hé bien, tout comme sur le précédent Sacred Blood « Divine » Lies, la voix a quitté le rocailleux, juste quelques grains de sable par ci et par là mais rien de désagréable.
Tobias SAMMET fut invité sur l’excellent Lost On The Road To Eternity et cela fonctionne à merveille ! Lee SMALL est passé en studio pour des choeurs sur les superbes King Of The World, Without Love et Ya Wanna Be Someone, accompagné par Liam DONERGYE et Louis COUPE sur ce dernier titre. C’est assez subtil comme choeurs, n’attendez pas du Desmond CHILD ou du STYX par exemple. Dan CLARK est venu jouer de la basse sur Without Love. Al BARROW (basse) poursuit magnifiquement l'aventure.
L'artwork, somptueux, est une fois de plus signé Rodney MATTHEWS.
Sheena SEAR a parfaitement enregistré, mixé et masterisé l’album au M2 Stutios à Coven.
Les subtils arrangements orchestraux furent enregistrés par Ron KEINAM sous la direction de Wolf KERSCHER au Phina Music Studio avec le WOLF KERSCHER STUDIO ORCHESTRA.
Côté inspiration, Tony CLARKIN poursuit dans la veine 70 avec un Rock Hard très mélodique aux accents progressifs. Les refrains sont imparables et occupent mon esprit. 11 titres réussis, enjoués qui forcent encore un peu plus mon respect pour ce groupe.
Le cd contient également 4 excellentes versions live de 2017 de Sacred Blood Divine Lies, Crazy Old Mothers, Your Dreams Won’t Die et Twelve Men Wise And Just extraits de Sacred Blood « Divine » Lies.
De quoi donner l’envie d’aller soutenir le groupe sur scène en 2018 !

Without Love : cliquez ici
COMMENTAIRES DES LECTEURS Vos commentaires, vos remarques, vos impressions sur la chronique et sur l'album
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Alain Le jeudi 5 juillet 2018
Effectivement, quel excellent album ! Des mélodies à tomber mais aussi plus de muscle qu'à l'accoutumée.
Commentaire de Rémifm : Pas mieux... Et une jolie pochette... Bzzz
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