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Chronique
ATARKA - Sleeping giant

Style : Metal
Support :  CD promo - Année : 2020
Provenance du disque : Reçu du label
10titre(s) - 60minute(s)

Site(s) Internet : 
ATARKA FACEBOOK

Label(s) :
Death Mask Records
 (12/20)
Auteur : Rebirth
Date de publication : 27/03/2020
Inégal pour un non-initié !
En préambule, il me semble utile de vous faire un aveu : je ne suis pas un spécialiste de death et pourtant, j’ai souhaité me coller sur la chronique de cet album, y percevant quelques analogies avec le seul groupe de death mélodique (pour l’heure…) qui trouve crédit à mes yeux : ARCH ENEMY !
Le problème est que la comparaison n’est finalement pas élogieuse mais il n’est jamais facile de déplacer un mythe de son piédestal…

S’il me fallait caractériser le style d’ATARKA, je résumerais : grosses guitares, batterie qui martèle et… growls appuyés ! Et pour un néophyte, c’est bien ce dernier détail qui aiguise la réticence… Les chanteuses qui se sont succédées chez ARCH ENEMY conservent un timbre…humain et tel n’est pas le cas de Jamie SMITH, « vocaliste » d’ATARKA ! Ces interventions s’avèrent puissantes certes mais à la limite du bestial, ce que certains apprécieront mais que j’ai eu parfois bien du mal à … supporter !
Côté chant, cet album ne présente pas beaucoup de « fioritures » même si quelques échappées mélodiques permettent de… respirer, laissant finalement l’impression que le combo se cherche tout en disposant d’un certain potentiel !
Avec toutes les réserves exposées en introduction de mes propos : pour le non-initié que je suis, donc, seuls les morceaux virant au mélodique (Golden Snake, The Tempest ou Delacroix) m’ont convaincu et je suis resté réfractaire (mais stoïque !) face aux déferlantes de death pur et dur (The Bastard ou 731). Le reste ne m’a pas laissé insensible mais troublé sans être transporté : c’est le cas pour Tollund Man ou Nebula.

Les deux guitaristes : Daniel Mac CARTHY et Alex DUTTON tiennent le haut du pavé : alternant riffs acérés et soli soignés (rares mais bienvenus). Le batteur, Phil SHELDON, fait preuve d’une fougue peu commune : la double sur Golden Snake (cliquez ici). Son acolyte Adam BAYLIS à la basse s’en donne à cœur joie sur Delacroix. Enfin, l’agréable chant clair de Jamie laisse imaginer ce qu’ATARKA serait si ce n’était pas du death !
Mes réserves se limitent ainsi à du formel, subjectif de surcroît, le fond s’avère quant à lui tout à fait louable : le mieux est de s’en faire soi-même une idée, non ?

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