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PRESTO BALLET
- The lost art of time travel
Style
: Prog Heavy / Prog Metal / Prog Rock
Support
: CD -
Année
: 2008
Provenance du disque
: Acheté
7titre(s) - 60minute(s)
Site(s) Internet
:
PRESTO BALLET WEBSITE
PRESTO BALLET MYSPACE
Label(s)
:
SPV
(17/20)
Auteur :
Alain
Date de publication
: 28/03/2009
Chapeau, colonel kurdt !
Le premier opus de
PRESTO BALLET
,
Peace Among the Ruins
, sorti en 2005, était une franche réussite pour son leader-guitariste-compositeur-producteur
Kurdt VANDERHOOF
. Le créateur de
METAL CHURCH
s'y ébattait dans un heavy metal très influencé par les années 70. Il remet aujourd'hui le couvert avec
The Lost Art of Time Travel
encore plus progressif. Sur sept compositions, seule
You're Alive
émarge en-dessous de la barre des cinq minutes ; sinon, on est souvent au-delà des neuf minutes. Sûr de bénéficier de tout le temps nécessaire pour s'épanouir, l'instrumentation développe de nombreux thèmes, tout entier basés sur une gémellité parfaite entre les claviers très 70's (sonorités d'orgue
Hammond
et de
mellotron
à foison, de synthés d'avantage fin 70's-début 80's également) et la guitare à la fois impériale et concise du maestro.
Ces longues compositions sont riches en rebondissements rythmiques et thématiques mais, en vieux routier,
Kurdt VANDERHOOF
laisse le temps à chaque partie de s'installer et de se développer, avant d'opérer une transition toujours intelligente et pertinente avec la suivante. Ce faisant, il évite l'écueil de la technicité à tout va et des morceaux sans trame véritable, qui sont la plaie des groupes de progressif en général, de prog metal en particulier (même
DREAM THEATER
n'y échappe pas !).
Autre tare que
VANDERHOOF
esquive : le très gros son heavy qui ne laisse aucun espace libre. S'il rend indéniablement hommage aux grands groupes des seventies (notamment le
KANSAS
le moins commercial), le guitariste a pourvu cet album d'un son moderne mais suffisamment aéré, là où des
SYMPHONY X
bâtissent des murs du son un peu stériles, à force de se vouloir body buildés et impressionnants. Du coup, on entend ici chaque détail, chaque nuance instrumentale. Et le très correct chanteur
Scott ALBRIGHT
n'a pas besoin de s'époumoner pour surnager dans le mix.
Assurément du grand art.
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